Le 1er février 2024 au FIAP Jean Monnet – Paris. Participation sur inscription obligatoire.
En France, les pratiques de fertilisation sont encadrées par des diagnostics et des préconisations décrites dans des documents résultants d’un consensus, publiés par le Comifer. Les références (N, P, K) ont été obtenues dans des systèmes relativement simples (une culture annuelle suivant labour, absence de facteurs limitants), dont la représentativité pose aujourd’hui question.
En effet, la part croissante des techniques sans labour, des cultures intermédiaires, des associations de culture, des systèmes uniquement basés sur les amendements organiques, l’allongement des rotations, sont autant de situations mal représentées dans les travaux fondateurs des documents “officiels”. Ces situations s’accompagnent de nouvelles pratiques de fertilisation (nouveaux types de diagnostics, disponibilité accrue de nouvelles matières fertilisantes, diversité des modes de fractionnement et de positionnement, etc. …) de la part des agriculteurs.
L’objectif de cette Journée Thématique est d’analyser la capacité des méthodes actuelles de raisonnement de la fertilisation à couvrir la diversité des systèmes de culture et à proposer, sur la base de résultats d’essais, des évolutions de méthodes et d’outils afin de répondre aux besoins de la profession.
Partie I : Etat des lieux sur la diversité des pratiques de fertilisation
09:00 – 09:30 : Accueil
09:30 – 11:00
11:00 : Pause
Partie II : Premiers enseignements pour la gestion de la fertilisation tirés de dispositifs expérimentaux mobilisant des leviers agroécologiques
11:15 – 13:00
Partie III : Nouvelles mesures, méthodes et indicateurs pour raisonner la fertilisation face à la diversité des systèmes de culture
Table ronde Finale
17:00 : Conclusion et clôture de la journée